DOSSIER MÉDICAL
Groupe Sanguin : AB+
Pathologie : Aucune
Antécédents médicaux : Aucun, n'est jamais entré dans un hôpital de sa vie pour autre chose qu'une visite et n'est jamais allé chez le médecin pour autre chose qu'une légère blessure au cuire chevelu.
Il a un genou qui devient douloureux s'il reste trop longtemps plié, cela est dû à un ligament distendu dans l'enfance. Il a également une légère malformation de l'appendice xiphoïde, visible par une petite excroissance à la pointe du sternum.
Dossier psychologique : Plutôt timide et renfermé au départ, il peut se révéler bavard dès qu'il a brisé la glace. Il aime faire de l'humour et peut se montrer parfois agaçant, mais en somme, il est plutôt amical et Jovial. Il est très organisé dans ses affaires, il aime les choses bien faites et dit toujours que s'il y a des règles, ce n'est pas pour rien. Par conséquent, lorsque que quelque chose le perturbe dans ses habitudes il peut se fâcher sans raison apparente et devenir irritable. Il s'énerve très vite et perd facilement ses moyens en période de stress intense, il se met alors à commettre des erreurs, ce qui n'arrange rien à son énervement.
Lorsqu'il commet de petites erreurs, il lui arrive de les caché ou de les maquillé de façon à ce que la situation tourne à son avantage.
C'est un gros fainéant lors des heures de repos, mais il aime s'amuser et rigoler quand l'ambiance y deviens propice.
Dossier physique : Grand, cheveux et yeux foncé, svelte, il a une petite cicatrice au front qu'il cache derrière une frange, car il n'aime pas qu'on la remarque. Il fait un minimum de sport comme le vélo et le tennis mais pas trop car il adore aussi la farniente.

CANDIDATURE
Poste demandé : Pilote de jumper

MON HISTOIRE
Quelque part dans le vide sidéral, tout moteur éteint, mon vaisseau dérive avec à son bord moi comme unique passager. Seul dans un vaisseau de transport de troupe, admirant un paysage planétaire de toute beauté. Je posais ma main sur un carnet rouge avec une inscription "Journal de bord" sur la couverture et l'ouvrai à la première page. On peut y lire une courte description du vaisseau auquel fait référence le journal de bord ainsi que de son pilote.

Nom : Bischoff
Prénom : Elwyn
Grade : Soldat
Fonction : Pilote de Jumper
Incorporation : Base Eridanis
Date d'entrée en service : ???

Une photo au format passeport figure en face de ces données, on peut y voir un jeune homme aux cheveux et aux yeux foncé, de type caucasien.

Je passai mon doigt sur la date tamponnée, comme si je voulais la caresser. Déjà 10 ans, pensai-je, 10 ans que j'ai touché mon premier avion, bien que ce fusse seulement un vol de démonstration, c'est la première fois que j'ai eu cette sensation que l'on appelle "être comme un poisson dans l'eau". C'était vraiment incroyable.

Je me mis à l'aise dans mon siège puis je fermai les yeux. Des images de mon enfance sur Terre me revinrent en flash.

A 12 ans, j'entrai avec mon frère dans une salle au sein de l'office fédéral de l'intérieur à Berne, il y a des dizaines d'autres enfants, tous accompagné d'un parent, comme moi. La salle ressemblait à une immense salle de classe avec des tables prévues pour un seul utilisateur et sur chaque table avait été déposé un petit tas de feuille agrafée. Je m'assailli à une table, attendant l’ordre pour retourner les feuilles posées devant moi. En titre on pouvait y lire "Examen de présélection pour formation SPHERE".

Plus tard, nous étions dans un bureau avec mon père devant un officier de l'armée de l'air. J'appris que j'avais obtenu un des meilleurs résultats de la présélection et que mon dossier médical était parfait. Par conséquent j’étais d'ores et déjà admis au cours SPHERE pour l'année de mes 14 ans. D'ici là j’allais devoir suivre des cours pour développer mon sens de l'orientation et donc entraîner mon dons de vue dans l'espace entre autre. Mon frère lui était dans la moyenne, son dossier médicale était aussi parfait mais contrairement à moi, cela ne l'intéressait pas plus que ça, il n'avait pas une envie folle de devenir pilote mais il voulait plutôt suivre les pas de notre père et obtenir un diplôme en science de l’ingénierie. Quoiqu'il en soit, il a suivit la même préformation que moi mais n'intégrera sans doute jamais le programme SPHERE.

A 16 ans, je terminais l'examen final du programme SPHERE. J’étais le meilleur de ma volée et j'obtenais donc en récompense, un vol en biplace dans un Pilatus utilisé pour la formation des pilotes. C'est là que je ressentis pour la première fois le sentiment d'être comme un poisson dans l'eau.

A 18 ans, je terminais mon apprentissage de mécanicien sur avion chez Pilatus avec maturité professionnelle et brevet de pilote de monoplace de type tourisme et voltige en poche. Je recevais enfin la convocation pour le recrutement à l'armée et j'y appris que je devais d'abord accomplir mon école de recrue en tant que mécanicien sur avion puis suivre l'école d'officier jusqu'au grade de Lieutenant avant de pouvoir enfin entrer à l'école de pilote de chasse.

A 19 ans, parallèlement à mon école de recrue je poursuivais ma formation de pilote de voltige, je participais à mon premier meeting et c'est à ce moment que mes ennuis commencèrent. J'avais des problèmes avec l'autorité depuis qu'un officier me remit à ma place un peu trop durement lors d'un exercice de survie. S'en suivit une série d’altercation avant qu’un jour, poussé à bout, je ne bouscule un peu trop fort l'officier en question et je me retrouvais devant une commission disciplinaire. J’étais alors définitivement dégoûté du système et de l'armée lorsque j'appris que l'officier qui s'acharnait sur moi avait été dans la même volée que mon frère lors de son école de recrue et qu’il avait été plus ou moins maltraité par un groupe de recrue, dont faisait partie mon frère, tout au long de sa formation. Je me retrouvais donc dans cette situation à cause de la rancune de cet officier et je décidai de refuser de devenir sergent afin de terminer ma formation en tant que simple soldat et d'en avoir le plus vite possible finit avec l’armée et ceci définitivement. Je renonçais donc à devenir officier et à devenir pilote de chasse par la même occasion.

Je me consacrai alors entièrement à ma carrière de pilote de voltige et d’essais, je fis le tour du monde à plusieurs reprise avant de gagné ma première compétition à 21 ans. Dès lors j'enchainais les victoires et je fus approché par de nombreux constructeur voulant m'engagé comme pilote d'essais, mais je restai fidèle à la petite société qui m'avait formé, la compagnie Pilatus installée au pied des Alpes bernoises. C'est d’ailleurs dans les alpes Suisse que je entraînais depuis le début et c'était grâce à ça que j'avais pu acquérir d'incroyable réflexes et facultés de pilotage qui rendirent complétement jaloux mes adversaires.

A 24 ans, ma carrière de voltigeur décolla mais c'était à ce moment que les événements me rapprochèrent à nouveau de mon rêve. Mon père, alors expert scientifique auprès du gouvernement, m'annonça qu'un organisme gouvernemental internationale s'intéressais de près au programme expérimental JUNGE GENIE du gouvernement suisse et dont le programme SPHERE faisait partie. Cette organisation cherchait des pilotes d’exception pour participer à un nouveau programme international soumis à une clause de confidentialité. Des rumeurs circulaient comme quoi la NASA voulait lancer un nouveau programme spécial d'exploration lunaire ou que l'OTAN préparait un nouveau plan de supériorité aérienne face à la montée en puissance d’opportunistes religieux dans les pays en difficulté depuis les récentes crises financière et les révoltes populaires sanglantes. L'organisme en question possèdait un bureau à Genève et j'y fus convoqué pour un entretien. Intrigué j'acceptai l'entrevue puis dès lors tout s'enchaîna rapidement.

Six mois après, je partais en Russie pour des essais de vol en Sibérie puis en Arctique avant d'être envoyé en Australie. Je m'amusais comme un fou, les entraînements se faisaient avec des avions d'un nouveau type et devaient être testés dans des conditions extrêmes, c'est pourquoi, toutes l’équipes de pilotes, nous devions nous rendre aux endroits où l'on trouve justement ces extrêmes, aux points désertiques les plus froids et chauds de la planète. On ne nous dit pas grand-chose sur les aéronefs ni sur ceux qui avaient organisé cette campagne de test. Nous ne comprenions pas pourquoi nous étions trimballés d'un bout à l'autre de la planète, surtout qu'en arctique il y avait des installations étranges dont on n'avait même pas le droit de s'approcher. A cet endroit, subitement, nous dûmes subir une prise de sang sans raison apparente. Plus tard je sus que c’était pour détecter des gènes spécifiques de mon ADN. Les entraînements eurent toujours lieux au plein milieu de zones désertique, loin de toutes habitations.

Les deux derniers entraînements eurent lieu dans la Death Valley aux Etats-Unis puis proche d'un complexe militaire situé à l'intérieur de Cheyenne Mountain. Apparemment l'armée américaine testait des réacteurs de fusée dans un bunker sous la montagne et je pensai donc que le but de cette campagne de test avait pour finalité le développement de nouveaux avions capables de voler au-delà de la stratosphère. On avait testé toute sorte d'avion, du monoplace jusqu'au mini jet en passant par des aux formes étranges, taillé pour la vitesse et le combat et tout ça dans des situations quelques fois absurde. J'ai trouvé étrange les tests de voltige avec un jet de 8 places passagers au-dessus du Pacifique.

A l'issue du programme, nous fûmes invité au complexe de Cheyenne Mountain pour la présentation des résultats et pour un banquet de remerciement. On ne nous dit toujours pas à quoi servira tout cela, mais malgré nos efforts pour en savoir plus, toutes nos questions étaient systématiquement esquivées. Finalement, on nous a appelés à tour de rôle pour un entretien avec le commandant de la base. Lorsque vint mon tour, j'entrai dans le bureau du commandant et m'assit sur dans un fauteuil de cuire. Tout le bureau baignait dans une atmosphère cosy, il ne manquait plus qu'une cheminée. Il n'y avait pour unique bruit que le bourdonnement de la pompe d'un aquarium. Aquarium qui contenait de nombreux poissons rares aux couleurs exotiques. Je scannai le bureau du regard et me dit que cela ne pouvait être que le bureau d'une femme. Tout était rangé, parfaitement ordonné, propre et il y avait une odeur sucrée dans l'air, exactement comme un parfum de femme. Une femme entra effectivement par une autre porte que celle par ou j'étais entrée et vint s'assoir au bureau. Elle me salua gentiment puis ouvrit le dossier qu'elle avait apporté. Elle me dit que tout ce que j'allais entendre dès ce moment, n'était absolument pas de la science-fiction, autant que cela puisse paraître irréel, il ne s'agira que de la stricte réalité. Et pour bien me faire comprendre que je devais tout gardé pour moi, elle me fit signer une clause de confidentialité.

Ce que j’entendis ensuite m'abasourdit…

Il était lundi matin, 6h30 précise et à 26, Je franchis la porte des étoiles pour la première fois.

VOUS !
Prénom/Surnom : Mimile
Âge : 24 ans
Célébrité de votre avatar : Jonathan Togo
Comment avez vous connu Stargate Eridanus : Shacka m'a balancé le lien en voyant dans quel état j'étais et en me disant "tiens, puisque t'es en manque de RP, ça peut t'aider à aller mieux" (toute transformation de fait réelle n'est que purement voulue)
Code du règlement :Validé par la magnifique et la plus belle des galloise